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Nanou et Vati
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28 mars 2024

Lecture : L'insoutenable légèreté de l'être - Kundera

Mais que m'a t'il pris d'emprunter ce livre ????

Pitch : L'intrigue, qui se situe à Prague en 1968, s'articule autour de la vie des artistes et des intellectuels, dans le contexte de la Tchécoslovaquie du Printemps de Prague en 1968, puis de l'invasion du pays par l'URSS.
 - Il y a 4 personnages qui Incarnent chacun de grandes idées
 :
Tomas est un chirurgien tchécodlovaque au début du roman. Intelligent et séduisant, il mène une vie de libertin et ressent un profond vide intérieur. Figure de l'ambiguïté, il se débat avec ses propres contradictions et ses sentiments pour Tereza qui finissent par le hanter.
Tereza est la jeune épouse de Tomas, serveuse puis photographe à Prague. C'est une femme douce et fidèle, elle incarne la morale, prônant l’amour pur.
Sabine est une artiste peintre, maîtresse de Tomas. Elle est une femme indépendante et rebelle qui rejette les conventions sociales et s'engage dans des relations sans attaches. Sabine représente la légèreté et la modernité.
Franz est un intellectuel idéaliste genevois, amant de Sabine. Politiquement engagé et en constante quête de la vérité, il se débat avec des dilemmes moraux. Englué dans un mauvais mariage, il représente la pesanteur et l'attachement à l'ancien monde.

 - Le roman traite de plusieurs thèmes :
L'éternel retourKundera analyse d'abord le concept nietzschéen de l'éternel retour.
Légèreté et pesanteur Ces deux notions fondent le livre : le lourd est négatif, le léger positif. La légèreté devient parfois insoutenable au regard de la lourdeur du destin.
Le kitsch « Le kitsch, par essence, est la négation absolue de la merde ; au sens littéral comme au sens figuré : le kitsch exclut de son champ de vision tout ce que l'existence humaine a d'essentiellement inacceptable » sic .
Kundera le définit comme un voile de pudeur que l'on jette sur la merde de ce monde.

La vie comme partition musicale
« L’être humain, guidé par le sens de la beauté, transforme l’événement fortuit (une musique de Beethoven, un mort dans une gare) en un motif qui va ensuite s’inscrire dans la partition de sa vie»
Milan Kundera apparaît ici comme profondément pessimiste sur les rapports amoureux.

- A la fin du livre François Ricard, en 20 pages, vous fait sous le titre "l'Idylle et l'idylle" ( avec un I majuscule et un i minuscule) une relecture de Milan Kundera !!!. Cela ne m'a pas beaucoup aidé !!!

J'ai eu le courage de lire les 426 pages du roman,  mais ???   ........ mais !!!  ..... dur dur !!!!
Si vous tombez sur ce roman  ...   
FUYEZ !!!

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